Le chocolat blanc ne contient pas de poudre de cacao
Le chocolat blanc, contrairement au chocolat noir et au chocolat au lait, ne contient pas de poudre de cacao mais de la graisse de cacao. Il contient ainsi plus de lipides (graisses) que les autres chocolats.
Le chocolat n’aime pas le changement
Chaleur, variations de température, air, lumière et humidité sont les ennemis du chocolat. Ils provoquent son blanchiment (remontée des graisses et cristallisation du sucre en surface) et une perte de goût.
L’idéal est de le conserver à une température comprise entre 15 et 18°C, à l’abri de l’air et de la lumière. Une fois entamé, il peut se conserver dans un emballage opaque (son emballage d’origine ou une boîte en fer) entre 6 mois (pour un chocolat au lait) et 1 an (pour un chocolat noir).
Le chocolat comporte de nombreuses vertus pour notre organisme
Pointé du doigt pour ses teneurs en glucides et en lipides, le chocolat s’avère calorique (500 kcal pour 100 grammes environ), mais possède de nombreuses vertus. Il est particulièrement riche en antioxydants dont la principale propriété est de retarder le vieillissement cellulaire. Il regorge également de vitamines et minéraux (phosphore, magnésium, fer, zinc…) indispensables au bon fonctionnement de notre corps. Le magnésium lui conférant des propriétés antidépresseur.
Le chocolat ne provoque pas de crise de foie
Il n’a pas d’action particulière sur le foie. Certes, certains le supportent moins bien, à chacun de connaître ses limites et de les respecter.
Le chocolat n’est pas responsable de migraine
A lui seul, il ne provoque pas de migraine chez les non-migraineux, mais peut être un facteur déclenchant de migraines chez les migraineux.
Le chocolat est un aliment bon pour la santé
Consommé modérément, il protège le système cardiovasculaire : il a un effet positif sur le mauvais cholestérol, protège les parois des vaisseaux sanguins et permet de fluidifier légèrement le sang.
Le chocolat n’est pas aphrodisiaque
Des vertus aphrodisiaques lui ont longtemps été prêtées, mais il n’en est rien. La légende vient de la période Aztèque où le chocolat était riche en piments rouges, agissant sur le système cardiovasculaire.